20 de novembro de 2007

Negros ao redor do mundo, ou, para que não conheçamos apenas Pelé, Mandela e Tyson !!!












Negros ao redor do mundo, ou, para que não conheçamos apenas Pelé, Mandela e Tyson !!!


LE GENERAL DUMAS, "LE PREMIER SOLDAT DU MONDE"

Sait-on que le père d'Alexandre Dumas, l'écrivain français le plus lu au monde dont la France célèbre aujourd'hui le Bicentenaire de la naissance (1802-2002), était le fils d'une Africaine, esclave affranchie de Saint Domingue ? Et qu'il fut l'un des plus brillants généraux français sous la Révolution ?
Durant l'été 2002, à l'issue d'une visite au Chateau de Monte-Cristo construit par l'auteur des Trois Mousquetaires à Port-Marly dans les Yvelines (France), nous entendions une dame d'une cinquantaine d'années s'exclamer : “Ah mais je ne savais pas que la grand-mère d'Alexandre Dumas était [noire] ! Il était donc métis ! Il n'y avait donc pas de racisme en France à l'époque ? ”


ESCLAVE A SAINT-DOMINGUE


Thomas-Alexandre Dumas est né le 27 mars 1762 dans l'île de Saint-Domingue d'une mère africaine et d'un père français. Sa mère était l'esclave d'un noble normand devenu planteur à l'ouest de Saint-Domingue où il était venu faire fortune. Elle s'appelait Césette Dumas. Son père était le marquis Davy de la Pailleterie. Comme cela se faisait souvent à l'époque de l'esclavage, le marquis eut une liaison avec sa belle esclave Césette. Selon les légendes familiales, il finit par épouser sa maîtresse noire. Mais certains rétorquent que c'était impossible compte tenu des "moeurs du temps".
Les liaisons entre les riches propriétaires d'esclaves blancs et leurs esclaves noires ont toujours défrayé la chronique. Ceux qui ont vu le film Jefferson à Paris se souviennent certainement que Thomas Jefferson qui fut ambassadeur américain à Paris avant de devenir président des Etats-Unis d'Amérique entretenait une liaison adultérine avec sa ravissante esclave africaine Sally Emmings. Mais l'idée qu'ils aient pu avoir des enfants fit scandale et provoqua la plus forte indignation des descendants légitimes du président. Pour ceux-ci, il "était moralement impensable" que Jefferson ait pu avoir une maîtresse noire de surcroît esclave, encore moins qu'il ait eu des enfants avec cette dernière!

Toujours est-il que le marquis de la Pailleterie avait lui, bien eu des enfants avec "la Dumas", sa maîtresse ou épouse qui était, selon l'historien H.Debrunner, d'origine yorouba ou dahoméenne. Celle-ci mourut en 1772 alors que Thomas-Alexandre entrait dans sa dixième année. Lorsque le marquis décida de rentrer définitivement en France quelques années plus tard, il vendit sans scrupules ses enfants mulâtres à d'autres planteurs! Le système esclavagiste avait si perverti les moeurs que l'on pouvait vendre ses propres enfants pour arrondir sa fortune.

Mais une fois en France, la solitude et le remords eurent tôt fait de pousser le vieux marquis à racheter l'un de ses enfants mulâtres, le jeune Thomas-Alexandre, qu'il fit venir à Paris. Celui-ci reçut une éducation de jeune noble, apprit l'escrime et d'autres "exercices du corps". A la suite d'une dispute avec son père qui lui donnait peu d'argent, le jeune marquis décida de s'engager dans l'armée comme soldat sous le nom de sa mère, Dumas. S'il s'était engagé sous le nom de son père, il aurait pu devenir officier, mais avec un nom roturier, les règles d'avancement dans l'armée française étaient telles qu'il risquait de passer toute sa vie à obéir aux ordres. Or le jeune homme qui était amoureux, ne pourrait épouser l'élue de son coeur que s'il devenait brigadier. C'était la condition posée par M. Labouret, le père de sa future épouse Marie-Louise! Nous étions en 1789.

HEROS DE GUERRE ET GENERAL A 31 ANS SOUS LA REVOLUTION

La Révolution éclata balayant les règles et les privilèges. Les métis prirent le camp de la Révolution. L'ascension de Dumas allait être fulgurante. En février 1792, il était brigadier. En octobre, il était lieutenant-colonel à la Légion franche des Américains dirigée par un autre métis, le célèbre chevalier de Saint-Georges. Le 30 juillet 1793, Dumas était promu général, puis en septembre général de division. Entre deux batailles, il avait eu le temps de se marier, de s'offrir dix-sept jours de lune de miel et de repartir laissant Marie-Louise enceinte...

Les exploits militaires de "l'homme de couleur" l'avaient rendu très vite célèbre. Il se distinguait à toutes les batailles par sa bravoure, sa force phénoménale et ses actes héroïques. "Ses exploits légendaires étaient invraisemblables mais vrais, écrit André Maurois. Des lettres de Bonaparte prouvent que le général Dumas prit, à lui tout seul, six drapeaux à une troupe plus forte que la sienne ; qu'il dévoila, en interrogeant adroitement un espion, les plans des Autrichiens ; qu'il contint l'armée de Wurmser dans Mantoue et eut deux chevaux tués sous lui...Il y avait du défi dans sa témérité. Homme de couleur, soit, et fier de l'être, mais il se voulait le meilleur." Il fit reculer seul un escadron de soldats autrichiens sur le pont de Brixten. Terrifiés par son invincibilité, les Autrichiens l'appelaient respectueusement Le Diable noir.

En recevant un jour le général Dumas, le nouvel homme fort de la France, Bonaparte, rendit hommage à ses prouesses militaires en l'appelant "l'Horatius Coclès du Tyrol". Peu après, il nomma Dumas gouverneur de la province de Trévisan en Italie où il fut adoré pour la "douceur et la sagesse de son gouvernement". Déjà en France pendant la Révolution, sa générosité lui avait valu d'être surnommé Monsieur de l'Humanité.

Lorsque Bonaparte, devenu en 1798 général en chef de l'Armée d'Orient, décida de partir à la conquête de l'Egypte, il fit appel à Dumas pour commander sa cavalerie. Sous le chaud soleil d'Afrique du Nord, Dumas se distingua à nouveau par ses exploits : "Ses cavaliers, à la tête desquels il chargea, jetèrent les Mamelucks dans le Nil. Quand il faisait cabrer son cheval et tournoyer son sabre, les plus courageux des combattants arabes criaient avec terreur : “L'Ange! L'Ange!” et fuyaient le glorieux Exterminateur."


DUMAS CONTRE BONAPARTE

Mais Dumas tomba en désaccord avec Bonaparte et décida de rentrer en France. Bonaparte ne lui pardonnera jamais de l'avoir défié... Sur le chemin du retour, il fut fait prisonnier sur les côtes italiennes. Enfermé dans le château de Brindisi, il fut empoisonné. Dumas fut libéré en avril 1801 et revint en France en très mauvais état.

Profitant de sa mauvaise santé, Bonaparte, devenu le Premier Consul, le mit à la retraite. Désormais à ses yeux, Dumas n'était redevenu qu'un simple "homme de couleur". Choqué, Dumas lui adressa une lettre très pathétique : "Général Consul...Les empoisonnements successifs que j'ai subis dans les prisons de Naples ont tellement délabré ma santé qu'à trente-six ans, j'éprouve déjà des infirmités que je n'aurais dû ressentir qu'à un âge plus avancé...J'éprouve un autre chagrin... et qui, je l'avoue, m'est plus terrible encore que ceux dont je me suis plaint. Le ministre de la Guerre m'a prévenu que j'étais porté au nombre des généraux en non-activité. Eh quoi! je suis à mon âge, et avec mon nom, frappé d'une espèce de réforme!... Je suis le plus ancien officier de mon grade...et... je me trouve sans activité!...Voyons, général consul, j'en appelle à votre coeur..."
Bonaparte resta sourd à ses demandes : "Je vous défends de jamais me parler de cet homme-là" avait-il dit à des amis de Dumas qui intervenaient en sa faveur. Dès lors, le nom et les exploits de ce grand homme de guerre originaire de Saint-Domingue allaient progressivement disparaître de la mémoire des Français.

Mais le destin en décida autrement. Le nom de Dumas allait devenir l'un des noms les plus connus du monde entier. En 1802, Marie-Louise Dumas, l'épouse du général, avait eu un fils, - futur auteur de Monte-Cristo, des Trois Mousquetaires, de La Reine Margot - prénommé Alexandre comme son père. C'est lui qui immortalisa le nom de sa famille en devenant l'un des écrivains les plus célèbres et le plus lu de la planète.

Le général Thomas-Alexandre Dumas mourut en 1806 à 44 ans. Un de ses proches écrivit : "Il a fini sa carrière hier, à onze heures du soir, à Villers-Cotterets...Depuis qu'il n'est plus en activité, comme pendant sa maladie, il n'a cessé de former des voeux pour la prospérité des armes de la France." Le général républicain Dumas souhaitait être enterré dans les champs d'Austerlitz. La réponse des autorités fut négative. Lui qui avait été autrefois qualifié de "premier soldat du monde" pour avoir vaillamment défendu la France! Il serait temps que les Français lui rendent l'hommage qui lui est dû comme ce fut le cas pour ses amis et collègues officiers-généraux de l'époque, Hoche, Brune, Murat, Kléber, Lannes, Masséna.

A l'occasion du Bicentenaire de la naissance de son fils, Alexandre Dumas, 1802-2002, les autorités françaises ont décidé de rendre un hommage posthume à ce dernier en transférant ses cendres au Panthéon.
Espérons qu'à l'horizon 2006, lorsque se profilera le Bicentenaire de la mort du général Dumas, ses cendres à lui soient transférées à Austerlitz comme il avait souhaité. En attendant, il serait heureux que la requête de l'écrivain Claude Ribbe - dont la biographie du général Dumas vient de paraître aux Editions du Rocher (Paris) - qui demande au président français, Jacques Chirac, que soit décernée à titre posthume la Légion d'Honneur au général Dumas reçoive une réponse positive. Ce ne serait que justice.

Dieudonné GNAMMANKOU

fonte:
http://www.gnammankou.com/dumas.htm

recomendo um ótimo site de informação sobre a história da África, escravidão e afins.

www.gnammankou.com
Site d'information de l'historien de l'Afrique et slaviste Dieudonné Gnammankou.

19 de novembro de 2007

Nobel acusado de racismo está correto, diz cientista político.

5/11/2007 - 07h00
Nobel acusado de racismo está correto, diz cientista político.


SÉRGIO DÁVILA
da Folha de S.Paulo, em Washington

Antes de James Watson, o Prêmio Nobel de 79 anos caído em desgraça depois de fazer comentários racistas, houve Charles Murray. Embora seja mais novo que o co-descobridor da estrutura do DNA, o cientista político norte-americano sessentão sofreu o mesmo tipo de crítica ao lançar "The Bell Curve" (A Curva do Sino, Free Press, 1994).

No livro, que escreveu com o psicólogo e professor de Harvard Richard Herrnstein (1930-1994), Murray defendia basicamente que a inteligência é o fator mais importante no sucesso das pessoas. Mas o barulho veio do que ambos escreveram em dois capítulos, que testes de QI (quoficiente de inteligência) apontavam que há diferenças entre raças, com brancos se saindo em média melhor do que negros.

Defensor da eugenia foi o adjetivo mais brando que ouviu então. Um telejornal chegou a colocar sua foto ao lado da de Hitler. Para comentar o caso de Watson, a Folha foi ouvir Murray, hoje um dos acadêmicos do conservador American Entreprise Institute, em Washington. Na longa entrevista por telefone, ele concorda com o ponto central do argumento do Nobel, defende a superioridade intelectual dos judeus e diz que a ação afirmativa será "uma desgraça" para o Brasil. A polêmica continua.

*

FOLHA - Para começar, o sr. concorda com o que James Watson disse sobre os negros?

CHARLES MURRAY - Com o quê, exatamente?

FOLHA - Ele disse que era pessimista com o futuro da África pois "todas as nossas políticas sociais são baseadas no fato de que a inteligência deles [negros] é igual à nossa, apesar de todos os testes dizerem que não".

MURRAY - Concordo. Não há discussão sobre o que os testes de inteligência dizem. Existem dados vindos de muitos países africanos e de diversos testes, inclusive alguns sem perguntas culturais, e estudos feitos por psicólogos negros, não são só pessoas brancas. E os resultados são muito confiáveis: ao longo dos países da África Sub-Sahariana, são extremamente baixos. Pode-se discutir é o que isso significa, mas os números são realmente baixos.

FOLHA - Ele disse que "pessoas que já lidaram com empregados negros não acreditam que isso [a igualdade de inteligência] seja verdade" e que "há muitas pessoas de cor muito talentosas, mas não os promova quando eles não tiverem sido bem-sucedidos nos níveis mais baixos".

MURRAY - Trabalho com empregados negros maravilhosos, e esse não é o tipo de prova que faça eu me preocupar com as diferenças de habilidade intelectual entre negros e brancos. Foi uma frase injusta da parte dele. Mas concordo com a segunda parte. Que você não promova pessoas só porque eles são membros de um grupo em desvantagem, o que é um problema nos EUA. Nós temos leis de ação afirmativa, que dá incentivos a empregadores para dar tratamentos especiais e favoráveis para negros. É uma política terrível. Para todos: para os negros, para os brancos, e pior ainda para as relações entre negros e brancos.

FOLHA - Ele disse que "não há uma boa razão para crer que as capacidades intelectuais de pessoas geograficamente separadas evoluam de maneira idêntica".

MURRAY - Absolutamente correto. Os seres humanos evoluem diferentemente de todo tipo de maneira em partes diferentes do mundo. A ciência atual está ao lado de Watson. Costumava-se dizer que os seres humanos eram tão parecidos geneticamente, com 99,6% de genes idênticos, que não poderia haver diferenças importantes. Ouvíamos frases como "Não houve tempo suficiente desde que os humanos deixaram a África para que tenham se desenvolvido diferentemente".

Pois a ciência está nos dizendo claramente nos últimos anos que, ainda que o ser humano tenha a mesma imensa maioria de genes, aquele número comparativamente pequeno que difere pode produzir diferenças muito grandes entre grupos. Quanto à probabilidade de ter certas doenças, por exemplo, como a Doença de Tay-Sachs nos judeus ou a anemia falciforme nos negros. Certamente afeta a aparência física e não há razão para pensar que não tenha havido pressões evolucionárias diferentes em relação à habilidade intelectual. Não sabemos ainda se é verdade, mas certamente não há nenhuma razão para pensar que não é verdade.

FOLHA - Como o sr. sabe, ele foi chamado de racista e teve de se aposentar. O sr. sofreu acusação semelhante.

MURRAY - O erro de Watson foi falar informalmente com um repórter sobre essas questões. O primeiro artigo que ele escreveu, que causou tanto problema, não tinha algumas das frases que você me leu. Elas vieram de uma entrevista posterior. Você vê a diferença entre o que foi escrito para o artigo, cuidadoso, preciso e acurado. Ele disse coisas na entrevista, como aquilo sobre empregados negros, que não deveria ter falado, cometeu um grande erro. Dito isso, a reação do Museu de Ciências de Londres, que cancelou sua conferência, e do Laboratório Cold Spring Harbor, que o demitiu, são uma desgraça.

FOLHA - Desgraça?

MURRAY - Afinal, o homem está discutindo uma questão intelectual polêmica. É isso o que a ciência deve fazer. Dizer que você não pode lidar com isso e que há algumas coisas que estão fora da jurisdição é simplesmente ridículo! Especialmente quando essa questão específica tem um corpo muito sério de estudos científicos conduzidos. Eles não nos dão todas as respostas, mas tornam a questão extremamente legítima.

FOLHA - O sr. compara a reação a Watson agora à que o sr. teve 13 anos atrás?

MURRAY - Bem, as coisas ficaram realmente complicadas depois que lançamos "The Bell Curve". As resenhas, na maioria das vezes, interpretavam nossa posição de maneira completamente errada, fomos chamados de racistas, intolerantes, programas noticiosos falavam do livro com a fotografia de Hitler e de "Mein Kampf" lado a lado. Foi muito desagradável. Mas havia uma diferença: eu era empregado pelo American Entreprise Institute, que realmente acredita em diálogo intelectual livre.

Não há nada em "The Bell Curve" que beneficie meu empregador, pelo contrário. Inteligência não tem nada a ver com o tipo de pesquisa de política pública que a maioria das pessoas onde trabalho faz. Mas o instituto me amparou sem piscar, sem ficar na defensiva. É uma grande ironia: ao trabalhar num "think tank" que muitos acreditam ser politizado eu tenho muito mais liberdade intelectual nos EUA hoje do que se fosse de Harvard ou Stanford ou em qualquer outra grande universidade ou mesmo na Cold Spring Harbor. Esses lugares bloquearam seu desejo de encorajar diálogo intelectual livre.

FOLHA - No livro de 1994, o sr. argumentava que aqueles com alta inteligência, que batizou de "elite cognitiva", estavam se descolando da população em geral, e que aquela era uma tendência social perigosa. Mais de uma década depois, o que aconteceu?

MURRAY - Parece que os próximos 15 anos foram especialmente planejados para provar que estávamos certos. Todas as tendências de isolamento aumentaram. Toda vez que você lê uma reportagem sobre o aumento da desigualdade econômica, por exemplo, pergunte-se por quê e se lembre da tese de "The Bell Curve": são os cérebros! Não só educação, mas cérebros estão se tornando cada vez mais valiosos no mercado de trabalho.

Veja o que aconteceu com a internet e a rapidez com que surgiram milhares de pessoas muito ricas. E qual era a base de sua riqueza? Suas habilidades intelectuais, que o capacitaram a operar nesse ambiente extremamente intelectual chamado ciência de computação. Veja o aumento da competição baseada em habilidades intelectuais por vagas em Harvard, Princeton, Stanford. Você pode fazer uma longa lista de desenvolvimentos desde 1994 e todos apontarão para uma estratificação cognitiva maior, assim como uma separação e isolamento maiores. É preocupante.

FOLHA - O sr. acaba de escrever um texto em que defende que judeus são mais inteligentes que o resto, que têm QI maior. Isso não é racismo ao contrário?

MURRAY - [Risos] A questão de por que os judeus têm uma inteligência média maior do que as outras pessoas é fascinante e ainda não muito clara, mas a explicação principal tem de ser genética. Digo "tem de ser" porque há muitas provas circunstanciais. Por exemplo: há muitas doenças que afetam mais judeus do que não-judeus, especificamente os asquenazes. Essas doenças são também associadas a formas de desenvolvimentos neurológicos que são compatíveis com maior capacidade do cérebro.

Não é definitivo, mas há uma tese muito plausível segundo a qual as mesmas mudanças genéticas que criam esses problemas nos judeus também ajudam a aumentar seu QI. Outra explicação deve ser considerada: a religião é muito exigente intelectualmente. Você tem de saber ler textos complicados, dominar o Torá e o Talmude, ambos muito difíceis, e ser capaz de ler em público, se você é do sexo masculino. Tudo isso significa que ser judeu é difícil. Com o passar dos séculos, pessoas intelectualmente incapazes de fazer isso devem ter acabado deixando a fé. Tenho de enfatizar que não sabemos com certeza, são só hipóteses interessantes.

FOLHA - Seu outro texto recente defende o fim dos SATs [testes que supostamente medem o conhecimento do aluno e cuja pontuação determina o ingresso em universidades norte-americanas]. Por quê?

MURRAY - O problema não é o teste em si. Com o passar do tempo e com a estratificação cognitiva, o resultado é que mais e mais estudantes que têm os melhores resultados nos SATs vêm de famílias de classe média alta. Não é porque eles fazem cursinho, é porque são filhos de pais mais inteligentes _que por isso chegaram à classe média alta. E eles passaram a seus filhos suas próprias habilidades intelectuais e também deram um bom ambiente para desenvolvimento.

Então, há cada vez menos lugar para as pessoas das partes mais baixas da sociedade, economicamente falando, que são esses diamantes em estado bruto, que só precisam de uma chance para mostrar seu talento. Não quero exagerar: ainda há muita criança realmente inteligente vinda de lares operários nos EUA, mas não tanto quanto antes, e isso é resultado de três gerações de meritocracia sendo muito eficientes.

FOLHA - Debate-se no Brasil agora os prós e contras da ação afirmativa. Qual sua posição?

MURRAY - Primeiro, deixe-me dizer que não conheço nem estive no Brasil. Mas a reputação do país é a de que as relações entre pessoas de diferentes etnias sempre foi boa. Vocês se apresentam como um país que não é obcecado com a questão negros versus brancos, como são os EUA. Se isso é verdade, a ação afirmativa é a melhor maneira possível para destruir essa vantagem.

Se vocês querem garantir que os brasileiros comecem a se odiar, odiar talvez seja uma palavra muito forte, mas estranhar um ao outro como nunca antes aconteceu, criar divisões, então a melhor receita é implantar a ação afirmativa. Funciona maravilhosamente para criar ressentimento. Se você tenta ajudar os negros, os brancos vão dizer: "Espere, se eu tenho a mesma habilidade e um processo seletivo justo, porque alguém deve ter vantagem em relação a mim por conta da cor de sua pele?."

Ao mesmo tempo, prejudica as pessoas que estão supostamente sendo ajudadas, no caso os negros. Toda vez que eles vão trabalhar, por exemplo, todas as pessoas brancas daquele escritório presumirão que eles conseguiram o emprego porque são negros. A presunção é: provavelmente essa pessoa não é tão capaz quanto nós porque conseguiu esse emprego por ação afirmativa. É uma idéia terrível! Sei pouco sobre o Brasil, mas sei muito sobre os EUA e a ação afirmativa em outros países. Eu imploro aos brasileiros: não façam isso.

FOLHA - Uma última provocação: voltando ao começo da entrevista, o sr. diria que o judeu Paul Wolfowitz [ex-presidente do Banco Mundial, um dos arquitetos da Guerra do Iraque] e o negro Nelson Mandela são exceções que explicam sua regra?

MURRAY - [Risos] Wolfowitz é incrivelmente inteligente. Não se deve tirar conclusões sobre sua capacidade baseado só nos problemas no Iraque. Ele não gerencia bem, o que a experiência no Banco Mundial deve ter mostrado a ele próprio. Ser um bom gerente exige outros talentos além de QI alto. Então ele não é a exceção que prova a regra.

Já Nelson Mandela, extremamente capacitado intelectualmente, certamente prova a regra que você não deve julgar baseado em raça. Se ele estiver sentando em frente a você, você não vai se preocupar no QI médio dos negros, você vai pensar em Nelson Mandela. Mas seu maior talento, mesmo ele sendo muito inteligente, é liderança, integridade e coragem. Habilidade intelectual é importante, não há dúvida, não deveríamos tentar negar. Mas é essa teia complicada de habilidades que faz pessoas bem-sucedidas profissional e pessoalmente.

A polêmica, passo a passo

1. Em 14 de outubro, JAMES WATSON deu uma entrevista à revista dominical do jornal londrino "Sunday Times" em que se dizia "pessimista" sobre o futuro da África pois as políticas sociais para o continente eram baseadas no fato de que a inteligência dos negros é igual à dos brancos, "apesar de todos os testes dizerem que não", entre outras declarações racistas

2. Ganhador do Prêmio Nobel de Medicina de 1962 por ser um dos descobridores da estrutura do DNA em 1953, o biólogo molecular norte-americano de 79 anos é conhecido no meio acadêmico por suas opiniões polêmicas, o que lhe valeu o apelido de "Honest Jim";

3. Ele já havia defendido posição semelhante às declarações dadas ao jornal no livro "Avoid Boring People" (Evite Pessoas Chatas, Random House, recém-lançado);

4. Centenas de cientistas no mundo inteiro escreveram artigos ou se manifestaram a respeito das opiniões de Watson, a maioria contrária a elas; o Museu de Ciências de Londres e a Universidade de Edimburgo cancelaram conferências que ele daria naquela semana; o laboratório de Cold Spring Harbor o demitiu; o cientista se desculparia e se retrataria em pelo menos dois artigos posteriores;

5. Co-autor do polêmico livro "The Bell Curve" (a curva do sino, 1994), em que escreve entre outras coisas que brancos se saem melhor que negros em testes de inteligência, o cientista político CHARLES MURRAY é um dos únicos até agora a vir a público defender algumas posições de Watson

fonte:


http://www1.folha.uol.com.br/folha/ciencia/ult306u342554.shtml

Prêmio Nobel diz que negros são menos inteligentes.

Prêmio Nobel diz que negros são menos inteligentes.


Sabe quais livros ele escreveu ?


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O norte-americano James Watson, um dos pais da genética moderna, afirmou que as pessoas de raça branca são mais inteligentes que as de raça negra, o que gerou o repúdio da comunidade científica e política. Segundo Watson –Prêmio Nobel e co-descobridor da estrutura do DNA junto a Francis Cric em 1953–, as políticas sociais na Africa fracassam porque não levam em conta que "os negros são menos inteligentes que os brancos".

- "Todas nossas políticas sociais estão baseadas no fato de que sua inteligência é a mesma que a nossa, enquanto todas as provas mostram que não é realmente assim". - Afirmou o cientista de 79 anos numa entrevista que concedeu ao diário britânico The Sunday Times.

O cientista disse que as políticas ocidentais para os países africanos estão baseadas na presunção errônea de que as pessoas negras estão tão prontas como as brancas, apesar de que as "provas" sugerem o contrário, informou.

- "Não existe uma firme razão para pensar que tenham evoluído de maneira idêntica as capacidades intelectuais de pessoas separadas geograficamente em sua evolução". - Afirmou Watson. O geneticista remarcou que "para isso não bastará nosso desejo de atribuir capacidades de raciocinio iguais, como se fossem uma herança universal da humanidade" e arrematou:

- "A gente que tem que tratar com empregados negros sabe que isso não é assim"..

Watson assegurou ainda que os genes responsáveis pelas diferenças de inteligência entre os humanos poderão ser encontrados no prazo de uma década. Este geneticista é também conhecido por suas polêmicas e insensatas considerações sobre política e sexualidade. Em 1997 ele disse que uma mulher deveria ter direito a abortar se as análises pré parto indicassem que seu filho iria ser homossexual. Mais tarde explicou que se tratava unicamente de um razoamento "hipotético" e se justificou explicando que a maioria das mulheres deseja ter netos. Em utra ocasião, sugeriu que existe uma relação entre a cor da pele e o desejo sexual, ao propor uma teoria na que afirma que as pessoas negras têm uma libido muito mais alta.

As primeiras reações contra as declarações de Watson proviram de outros cientistas. Steven Rose, biólogo e membro da Sociedade para a Responsabilidade na Ciência, afirmou:

- "Esta é a cara mais escandalosa de Watson. Em outras ocasiões ele disse coisas parecidas das mulheres, mas nunca tinha ouvido se meter neste terreno racista. À margem do político e o social, se Watson conhecesse todos os escritos ao respeito teria dado conta de que ele não entendeu nada".

E em "off" ele complementou:

- "Este velho só fala merda..."

Os jornais de todo o mundo de hoje estampam o pedido de desculpas públicas de Watson que teve várias palestras canceladas e foi suspenso do seu serviço pelas declarações que pareciam ter um motivo óbvio: colocá-lo novamente em evidência no mundo. Parece que ele conseguiu.



fonte:

http://www.mdig.com.br/index.php?itemid=1686

18 de novembro de 2007





Origem: Wikipédia, a enciclopédia livre.


Desmond Mpilo Tutu é um bispo Anglicano sul-africano. Nascido em Klerksdorp, no Transvaal, a 7 de outubro de 1931.

Estuda na Escola Normal de Joahannesburgo e, em 1954, na Universidade da África do Sul. Depois de trabalhar como professor secundário, ordena-se sacerdote anglicano em 1960. De 1967 a 1972, estuda teologia na Inglaterra.

Em 1975 é o primeiro negro a ser nomeado deão da catedral de Santa Maria, em Johannesburgo. Sagrado bispo, dirige a diocese de Lesoto de 1976 a 1978, ano em que se torna secretário-geral do Conselho das Igrejas da África do Sul.

Sua proposta para a sociedade sul-africana inclui direitos civis iguais para todos; abolição das leis que limitam a circulação dos negros; um sistema educacional comum; e o fim das deportações forçadas de negros.

Sua firme posição anti-apartheid – a política oficial de segregação racial – lhe vale, em 1984, o Prêmio Nobel da Paz. Recebe o título de doutor honoris causa de importantes universidades dos Estados Unidos (EUA), do Reino Unido e da Alemanha.

Em 1996 preside a Comissão de Reconciliação e Verdade, destinada a promover a integração racial na África do Sul após a extinção do apartheid. Tem poderes para investigar, julgar e anistiar crimes contra os direitos humanos praticados na vigência do regime.

Em 1997 divulga o relatório final da comissão, que acusa de violação dos direitos humanos tanto as autoridades do regime racista sul-africano como as organizações que lutavam contra o apartheid.

É membro do Comité da patrocínio da Coordenação internacional para o Decênio da cultura da não-violência e da paz.


Vale a pena conhecer.

Falar sem conhecer é como queimar as bruxas na inquisição, por pura ignorância.

Saiba o que fala !!!

Cerimônia Tradicional de Yoruba - Nigéria.

Cerimônia Tradicional de Yoruba - Nigéria.


vide:

http://www.weshow.com/br/p/19886/cerimonia_tradicional_de_yoruba_nigeria

ou no you tube:

http://www.youtube.com/watch?v=0AUPD-WPqXU&eurl=http://www.weshow.com/br/p/19886/cerimonia_tradicional_de_yoruba_nigeria

16 de novembro de 2007

ROSÁRIO FUSCO de Souza Guerra, escritor e advogado, afrodescendente ।





ROSÁRIO FUSCO de Souza Guerra, escritor e advogado, nascido em São Geraldo, em 19/7/1910. Faleceu em Cataguases em: 17/8/1977.

"Lá se foi o velho Rosário Fusco" - escrevia o cronista José Carlos Oliveira no Jornal do Brasil de 21 de agosto de 1977, quatro dias após a morte do romancista em cataguases: "um gigante voraz, andarilho infatigável que viveu (vivenciou, se preferirem) a aventura antropofágica proposta pelos modernistas. Cosmopolita, para onde quer que fosse levava um coração provinciano. Teria que terminar em Cataguases, misteriosa cidade com vocação de radioamador - dentro das casas, nos bares, na praça, na modorra da roça é apenas uma prevenção; na verdade, Cataguases está em febril contato com o mundo, é pioneira em cinema, em literatura, em arquitetura". A "Cataguases pioneira em literatura"deve muito a Rosário Fusco - ainda um menino de 17 anos e já fazendo com outros rapazes da cidade uma revista que daria o que falar na Capital de Minas, na de São Paulo, em várias outras do Brasil e até do exterior. Fusco foi o motor da Revista Verde, um vulcão que escrevia, ilustrava, diagramava, mandava (e recebia) cartas para todo mundo, mas principalmente pro modernista Mário de Andrade, descoberta e aprendizado, embora mais tarde fizesse mais o perfil do outro Andrade, o irreverente e antropofágico Oswald.
Com seis meses de idade e órfão de pai, Rosário Fusco de Souza Guerra, chega a Cataguases com a mãe, Auta, lavadeira. Estuda na Escola Maternal Nossa Senhora do Carmo, conclui o primário no Coronel Vieira e faz o secundário no Ginásio Municipal. Duro início de vida: aprendiz de latoeiro, servente de pedreiro, pintor de tabuletas, prático de farmácia, professor de desenho, bedel no Ginásio. Aos 15 anos, já colaborava no "Mercúrio", jornal dirigido por Guilhermino César, futuro companheiro na Verde, e logo em dois outros jornaizinhos, "Boina" e "Jazz Band". Com José Spíndola Santos, edita "Itinerário", e juntos fundam a livraria-editora Spíndola e Fusco.
Aos 17 anos, é um dos criadores da Verde Editora e, aos 18, publica "Poemas Cronológicos", parceria com Enrique de Resende e Ascânio Lopes, em 1928. Em 1932, muda-se para o Rio de Janeiro, onde forma-se em Direito em 1937. Romancista, funcionário federal, dramaturgo, poeta, jornalista, publicitário, radialista, critico literário, ensaísta, Secretário da Universidade do Distrito Federal e Procurador do Estado do Rio de Janeiro. Muitos cargos para um homem só, mesmo um mulato enorme e da melhor qualidade como Rosário Fusco. Melhor dizer, simplesmente, profissão: escritor. Mesmo porque ele foi o primeiro escritor brasileiro a ser reconhecido como tal pelo antigo INPS. Em fins dos anos 60, ele volta a Cataguases, onde viria a morrer em 1977. Publicou vários livros: em 28, Fruta de Conde (poesia), 1943, O Agressor (reeditado depois, em 68, na Itália pela Editora Mandadori e no Brasil em 76 pela Francisco Alves). 1940, Amiel, (ensaio), O Livro do João (romance), 44, Anel de Saturno e O Viúvo, em 1949 (teatro), Carta à noiva, 54, (romance), Introdução à Experiência Estética (ensaio), em 49, Auto da Noiva (farsa), em 61 e Dia do Juízo (romance) também em 1961. Deixou dezenas de correspondências com expoentes da literatura brasileira, especialmente Mário de Andrade, dezenas de "diários" e dois romances e um livro de poesia erótica e de viagens.


fonte:

http://www.tratosculturais.com.br/Zona%20da%20Mata/UniVlerCidades/modernismo/Literatura/index.htm

A QUESTÃO DE GÊNERO NA PEÇA SORTILÉGIO (MISTÉRIO NEGRO) DE ABDIAS NASCIMENTO Por: Elisa LARKIN NASCIMENTO

A QUESTÃO DE GÊNERO NA PEÇA SORTILÉGIO (MISTÉRIO NEGRO) DE ABDIAS NASCIMENTO
Por: Elisa LARKIN NASCIMENTO.


Recomendo a leitura, vale a pena pelo nível de cultura do artigo.

vide trechos:



Assim, introduzia uma nova abordagem à luta negra do século. Essa perspectiva se caracterizava pela visão de uma melhora colectiva da vida do povo negro, pois o domínio da actuação política refere-se à colectividade e não aos pleitos individuais. Identificando o alojamento do negro do sistema de ensino e sua inferiorização cultural como aspectos essenciais da opressão, o TEN tinha como objectivo de sua actuação teatral a reabilitação e a valorização da herança e da identidade negras (Nascimento, 1997).


..........



Sortilégio: construindo em cena uma identidade afro-brasileira Cumprindo a missão de ensejar a criação de uma literatura dramática que focalizasse o negro como protagonista e sua cultura como matriz significante no universo simbólico e na sociedade humana, o TEN encenou várias obras dramáticas, muitas escritas especialmente para ele. Publicou na antologia Dramas para negros e prólogo para brancos (Nascimento, 1961) um conjunto de sete peças4. Entre essas estava Sortilégio (mistério negro), de Abdias Nascimento.


O filho pródigo, de Lúcio Cardoso;
O castigo de Oxalá, de Romeu Crusoé;
Auto da noiva, de Rosário Fusco;
Sortilégio (mistério negro), de Abdias Nascimento;
Além do rio (Medea), de Agostinho Olavo;
Filhos de santo, de José de Morais Pinho;
Aruanda, de Joaquim Ribeiro;
Anjo nego, de Nelson Rodrigues;
O emparedado, de Tasso da Silveira.


.....

Orfeu da Conceição, de Vinícius de Morais;
Um caso de kelê, de Fernando Campos;
O cavalo e o santo, de Augusto Boal;
Yansã, mulher de Xangô, de Zora Seljan;
Os irmãos negros, de Klaynér P. Velloso;
O processo do Cristo Negro, de Ariano Suassuna;
Caim e Abel, de Eva Ban;
Plantas rasteiras, de José Renato;
Orfeu Negro, de Ironides Rodrigues;
Pedro Mico, de Antônio Callado;
Gimba, de Gianfrancesco Guarnieri;
Chico-Rei, de Walmir Ayala.


...........




Escrita em 1951, Sortilégio ficou durante seis anos banida do palco pela proibição da censura, fato significativo quando levamos em conta que o seu autor foi um dos membros da comissão criada, ainda em 1948, pela Associação de Críticos Teatrais, para organizar um protesto e iniciar a tomada de medidas judiciais contra a instituição da censura, poder exercido pela polícia5.




Artigo completo em: http://www.uea-angola.org/artigo.cfm?ID=584




Biblioafro.

15 de novembro de 2007

Ninguém quer ser negro

O que podemos esperar de uma sociedade fundada sobre a aventura e não sobre o trabalho, fundada na caça fatal ao índio, na escravidão do negro e na degradação da mulher?
Carl Degler, em 'Nem preto nem branco': escravidão e relações raciais no Brasil e nos EUA

Na primeira metade do século XX, surgiram, em São Luís, dois romances sobre o negro maranhense: um, de Astolfo Marques (1876-1918), A nova aurora; outro, de Nascimento Moraes (1882-1958), Vencidos e degenerados, publicado em 1915. Astolfo Marques fixou a transição da Monarquia para a República, e tentou compor o retrato de um dia-a-dia aviltante nos lares e fazendas conspurcados pelo cativeiro, de uma guerrilha cruel travada por gente desesperada. Nascimento Moraes pretendeu retratar o ocaso do cativeiro, com a recordação das caravelas que partiram e dos sofrimentos das mães escravas de Cabo Verde, de Guiné, de Angola, de Moçambique, de tantos mares, de tantas terras tão distantes.

Pelos livros dos dois autores maranhenses, confirma-se que, na sociedade brasileira, recentemente saída da escravidão, o ideal era ser branco. Disso é testemunho o que diz o escritor Lima Barreto (1881-1922), que era mestiço, no capítulo IX de seu romance Vida e morte de M. J. Gonzaga de Sá, publicado em 1919. Ali, pode-se ler, pela boca de Gonzaga de Sá: “A mais estúpida mania dos brasileiros, a mais estúpida e lorpa, é a aristocracia. Abre aí um jornaleco, desses de bonecos, e logo dás com uns clichés muito negros ... Olha que ninguém quer ser negro no Brasil!”.

Entre os romances do século XIX que abordam o assunto do negro e as questões raciais no Brasil, talvez o mais conhecido seja O mulato, de Aluísio Azevedo que, apesar de publicado pela primeira vez, em 1881, ainda conta com um vasto público leitor no país. O personagem central do romance é um mestiço, um jovem chamado Raimundo José da Silva, descendente de uma escrava e de um fazendeiro branco do Maranhão. Desconhecendo sua origem, Raimundo recebe uma educação esmerada na Universidade de Coimbra, em Portugal. Quando o romance começa, ele está voltando a São Luís, para encerrar seus negócios, preparando-se para a mudança definitiva para o Rio de Janeiro.

Quando pede a mão de sua prima, branca, em casamento, porém, sua descendência lhe é revelada e impedem-no de desposar a moça. Ao descobrir sua origem escrava, o Dr. Raimundo da Silva, já na condição de distinto advogado, compreende “a frieza de certas famílias a quem visitava; a brusca interrupção de conversas no momento em que se aproximava, a reticência daqueles com quem falava sobre seu passado; a reserva e o cuidado daqueles que discutiam, em sua presença, questões de raça ou sangue”.

O preconceito racial – comprova-o Josué Montello ainda mais contundentemente do que Aluísio Azevedo – no Maranhão chegou às raias do patético e do ridículo ao mesmo tempo. O escritor Manoel Caetano Bandeira de Mello revela, em um de seus livros, que em São Luís se examinavam com olhos perscrutadores os cabelos de gente de fora para ver se tinham casta, isto é, certo encaracolado, ainda que disfarçável, denunciador de ascendência negra. Da cor da pele nem se fala. Havia interpelações deste tipo: “Como é que o senhor vem falar comigo desse jeito, se o senhor é quase da minha cor?” E logo se juntava o braço ao do interlocutor para avaliar a cor da pele de ambos ...

Dunshee de Abranches aponta em sua obra os graves preconceitos e baixos costumes que subsistiram na vida social do Maranhão, herança nefasta dos tempos coloniais. O escritor Nascimento Moraes, com o livro Vencidos e degenerados, também denuncia o exacerbado preconceito antinegro na sociedade maranhense. Ele mostra que houve uma tentativa de escamotear a brutalidade e a estupidez da escravidão e também de dissimular o preconceito racial que sucedeu ao fim do cativeiro. Ilustres intelectuais passaram a glorificar a miscigenação, na imprensa de São Luís, como suposta prova de harmonia racial no Brasil.

Manoel Caetano Bandeira de Mello, num de seus artigos, tentou se corrigir. Escreve ele: “Não há dúvida que a rede, a cama, o chão de amor, muito contribuíram para apagar ódios através da mestiçagem. Todavia não fazem esquecer a crueldade dos castigos e a discriminação imposta aos negros e a seus descendentes”.

Uma conseqüência do preconceito antinegro é que há uma enorme quantidade de classificações raciais no país. A “ideologia do embranquecimento” assumida por negros e brancos tem feito com que as pessoas negras afastem de diversas formas a referência histórica de suas origens africanas. O Brasil já teve até um presidente da República mestiço, mas não se fala sobre isso. No começo do século XX, com a morte de Afonso Pena, o vice, Nilo Peçanha, assumiu o cargo e cumpriu pouco mais de um ano de mandato, até novembro de 1910. Era mestiço e tratou de esconder a sua origem sempre que pôde. A sua biografia oficial, escrita por um parente, Celso Peçanha, tem 172 páginas e não faz uma única menção à ascendência negra do ex-presidente.

Em uma pesquisa feita no ano de 1963, os 100 habitantes de uma vila de pescadores do Nordeste usaram 40 termos nas autodeclarações de cor. No Censo de 1980, os pesquisadores do IBGE receberam, pela primeira vez, a incumbência de pedir a cada cidadão que declarasse a sua cor. Entre os não-brancos, foram anotadas nada menos de 136 maneiras de escamotear a origem negra. Algumas delas: morena moscatel, amarela queimada, morena clara, morena escura, azul, morena da cor de jambo, baiano, cafu, acastanhado, cobre, sarará, café, branca queimada, miscigenação mista, morena bem chegada, puxa para branca, queimada de praia, turva e verde, marrom, sapecada e roxa. Fala-se também em “morena da cor do desejo”, “morena da cor do pecado” etc.

Isso demonstra a dominação cultural a que foram submetidos os negros, desde os tempos da escravidão. Ainda hoje, comprovadamente, o brasileiro foge de sua verdade étnica, procurando situar-se o mais perto possível do modelo tido como superior, que é o branco. No Censo do IBGE de 1990, apenas 5% se declararam negros, 56% se disseram brancos e 39% informaram que são “pardos”.

“Um brasileiro é designado preto, negro, moreno, mulato, crioulo, pardo, mestiço, cabra – ou qualquer outro eufemismo; e o que todo o mundo compreende imediatamente, sem possibilidade de dúvidas, é que se trata de um homem-de-cor, isto é, aquele assim chamado descende de escravos africanos. Trata-se, portanto, de um negro, não importa a gradação da cor da sua pele”, afirma Abdias do Nascimento que, em um de seus livros, O genocídio do negro brasileiro, comprova que existiu e existe uma trama para embranquecer a população brasileira.

Num de seus mais veementes discursos no Congresso Nacional, na condição de deputado pelo Rio de Janeiro, Abdias do Nascimento denunciou que na época em que as teses darwinistas alimentavam a mais crua teorização da supremacia européia, o Brasil se empenhou freneticamente em se tornar um país branco. A classe política dominante trouxe o imigrante europeu, segundo o Decreto-lei nº 7.967, de 1945, para “preservar e desenvolver, na composição étnica da população, as características mais convenientes da sua ascendência européia”.

Por idênticas razões, um decreto de 28 de junho de 1890 concedia livre entrada no Brasil a todos os indivíduos aptos para o trabalho, “excetuados os indígenas da Ásia ou da África”. O imigrante europeu veio para um fim muito bem explicitado nas palavras de Joaquim Nabuco: “Esse admirável movimento imigratório não concorre apenas para aumentar rapidamente, em nosso país, o coeficiente da massa ariana pura; mas, também, cruzando-se e recruzando-se com a população mestiça, contribui para elevar, com igual rapidez, o teor ariano do nosso sangue”.

Daí por que a idéia da democracia racial, ainda tão sedimentada na cultura brasileira, tem sofrido tantos golpes. Em pleno século XXI, os negros ainda são barrados na escalada ao topo da pirâmide social. Saem perdendo na disputa por um emprego e ganham menos do que os brancos. Resumindo: a democracia racial foi e continua sendo apenas um embuste, uma espécie de marketing que promove a alienação de negros e mestiços, enquanto garante a continuidade de privilégios herdados do racismo colonial.

Muito a propósito disto, a leitura de testamentos e de jornais da época revela um surpreendente retrato de homens e mulheres do período da escravidão. Assim como agora, em pleno século XXI, um pai de família tenta assegurar o futuro dos filhos garantindo o estudo numa boa faculdade, nos séculos XVII, XVIII e XIX a melhor herança era humana: negros. O grande dote que um noivo recebia no casamento eram recursos para se tornar sócio do comércio escravagista. Podia comprar 20 negros, quem sabe 30, e começar uma vida nova. Viúvas também aplicavam suas economias nesses empreendimentos, recebendo sua parte em espécie.

(NETO, Manoel. O Negro no Maranhão. São Luís: Clara Comunicação e Editora Ltda. 2004, p.73-79)

O AUTOR

O AUTOR

Manoel Santos Neto, maranhense de São Luís, nasceu a 23 de julho de 1963. Bacharel em Comunicação Social pela Universidade Federal do Maranhão, jornalista e escritor de profunda vinculação social, foi um dos fundadores do Centro de Cultura Negra do Maranhão (1979), editor do jornal Akomabu (de agosto de 1986 a junho de 1988) e co-autor de trabalhos de pesquisa em parceria com a professora Maria do Rosário Carvalho Santos, entre os quais o livro Boboromina, sobre as casas de culto afro do Maranhão; vencedor do concurso literário da Secretaria de Cultura do Estado (Secma), editado pelo Sioge (Serviço de Imprensa e Obras Gráficas do Estado), no ano de 1989.

Trabalhou como repórter e redator de diversos periódicos, entre os quais o Jornal de Hoje, Diário do Norte, Jornal Carajás e Atos e Fatos. Foi chefe de Reportagem e editor de Política do jornal O Estado do Maranhão, onde trabalhou de maio de 1988 a janeiro de 2001, e integrou a equipe fundadora do jornal Folha do Maranhão (de junho de 2001 a março de 2002). Atualmente, dedica-se ao jornalismo e à literatura e trabalha como repórter da Editoria de Política do Jornal Pequeno.




Fonte:
http://www.guesaerrante.com.br/2005/11/29/Pagina164.htm



A Biblioafro apóia o estudo em torno dessa temática e trabalha no sentido de não deixar faltar as fontes bibliograficas. Saiba mais ...

Painéis resgatam negros ilustres, “branqueados” pela história

Painéis resgatam negros ilustres, “branqueados” pela história


Quinta-feira, 08 de Novembro de 2007 às 10h03

O Estado de S. Paulo

No mês de novembro, as ruas paulistanas viram uma galeria a céu aberto, ao receber imensos retratos de brasileiros negros, que marcaram a história do País. Eles serão instalados em 20 prédios públicos e particulares, como o Teatro Municipal e o Instituto Itaú Cultural, em forma de banners de 5 metrosde altura. Os primeiros retratos começaram a ser instalados ontem. A foto da compositora Chiquinha Gonzaga - que escreveu, entre outras canções, a marchinha Ó, Abre Alas - foi pendurada na Sala São Paulo, no centro, e a do engenheiro Teodoro Sampaio, fundador da Escola Politécnica, no Museu de Arte de São Paulo (Masp), na Avenida Paulista.

Essas mesmas fotos ainda serão espalhadas em 20 CEUs da capital, 11 pontos de atendimento do Poupatempo e 20 terminais de ônibus. A iniciativa é da secretarias de Cultura do Estado e do Município, que lançam a campanha Mês da Consciência Negra. As fotos ficam expostas na cidade até o final do mês.

Além de mexer com a cara da cidade, elas podem provocar polêmica, já que algumas das personalidades não são reconhecidas como afrodescendentes pelas famílias. "É o caso de Nilo Peçanha, que tinha mãe negra, mas a família nega a raiz africana", diz Dagoberto José Fonseca, professor de antropologia, da Universidade Estadual Paulista (Unesp), de Araraquara. Ele pesquisou cerca de 100 nomes de brasileiros negros importantes, que serviram de base para a escolha dos 20 finalistas. "Quando entreguei a lista, avisei que era polêmica."

O fluminense Nilo Peçanha, elegeu-se vice-presidente de Afonso Pena em 1906 e, quatro anos depois, com a morte do presidente, assumiu seu posto. Na gestão de Peçanha, suas fotos foram retocadas para não transparecerem os traços marcadamente negros. "Nunca soube que Nilo Peçanha era negro", diz o governador José Serra. "Para mim foi uma surpresa. Também não tinha idéia, até por ser de uma área distante da minha, que a Sociedade Brasileira de Psicanálise foi fundada por Virgínia Leone Bicudo, uma mulher negra."

Fonseca explica que a sociedade brasileira promoveu e promove uma espécie de branqueamento da cultura negra. "Chiquinha Gonzaga, por exemplo, foi interpretada no seriado da TV Globo pela atriz Regina Duarte, a namoradinha do Brasil", lembra. "Existe um jeito bem brasileiro de estabelecer o processo cromático. O Brasil sempre quis ser europeu, mas não é. Os portugueses que chegaram aqui eram miscigenados." Pelos critérios da exposição da Secretaria da Cultura, até mesmo o ex-presidente Fernando Henrique Cardoso, que tem uma avó negra, poderia estar ali pendurado num prédio.

Uma forma escolhida por colégios particulares para mudar o jeito brasileiro de encarar a participação dos negros na sociedade foi inserir o assunto na grade. "Este ano, os alunos estão estudando a cultura africana antes da chegada dos europeus na África", diz Onofre Rosa, coordenador pedagógico da Colégio Bandeirantes, no Paraíso, zona sul. A escola chegou a discutir se fazia algo especial para o Dia da Consciência Negra, 20 de novembro. "Achamos que poderia gerar preconceito e optamos por dar mais informações sobre o assunto o ano todo e não num dia só."

fonte:

http://www.saopaulo.sp.gov.br/sis/lenoticia.php?id=89246

um preto digno...e não um negro limitado!

"E os manos que nos ouvem irão entender
Que a informação é uma grande arma
Mais poderosa que qualquer (pt) carregada
Roupas caras de etiqueta não valem nada
Se comparadas a uma mente articulada
contra os ........ é química perfeita
Inteligência e um cruzado de diretita
será temido e também respeitado
um preto digno...e não um negro limitado!"

Racionais mc's na década de 90.

RACISMO Racismo: A obra civilizatória





RACISMO
A obra civilizatória
As elites brancas construíram no Brasil um mundo para si à custa de muitas perversões, em especial a de alijar da cidadania os negros e pobres

Sueli Carneiro, Doutora em Filosofia da Educação pela USP e diretora do Instituto da Mulher Negra (Geledés)


veja o artigo na integra em: http://www.irohin.org.br/imp/template.php?edition=18&id=67



Biblioafro - cultura, informação = transformação !!!

Quanto vale ou é por quilo ?






O filme desenha um painel de duas épocas aparentemente distintas, mas, no fundo, semelhantes na manutenção de uma perversa dinâmica sócio-econômica, embalada pelas corrupção impune, pela violência e pela apartação social.

Num dos episódios situados no século XVIII, (em uma versão sintética e adaptada do conto 'PAI CONTRA MÃE', de Machado de Assis) um capitão-do-mato captura uma escrava fugitiva que está grávida. Ao entrega-lá de volta ao dono e mandante da missão, recebe seu pagamento enquanto a escrava aborta um futuro escravo.

Na trama que transcorre nos dias atuais, uma ONG implanta o projeto "Informática na Periferia" em uma comunidade carente. Arminda, que está empenhada no projeto, descobre que os computadores foram superfaturados e, agora, precisa decidir entre moral, pragmatismo ou sobrevivência. Candinho, jovem que está desempregado e com a mulher grávida, tem que se virar para sobreviver. Surge a oportunidade de um trabalho "autônomo e rentável" para sustentar a família. O rapaz então transforma-se em um "caçador de bandidos".

Misturando as duas épocas, com a repetição de alguns atores em situações análogas, o roteiro aponta dois desfechos para o filme, criando uma duplicação de possibilidades que surpreende o espectador.

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Quanto vale ou é por quilo ?


Vale a pena conferir, quem ainda não o fez.
Caso queira baixar tem no portal makingoff.org , bem como em boas locadoras pelo país afora.

boa sorte e bom proveito.

Biblioafro.

14 de novembro de 2007

Na África há consciência negra !?!
Quer assistir Malcolm X de graça, quer rever, quer passar para sua ONG, seu Terreiro, Sua igreja ?

Está esperando o que ? Passar no Super Cine, oe na Tela Quente ?

Vamos lá baixe e retransmita ensine, aprenda.

Para baixar os filmes no portal makkingoff, basta cadastra-se e ver o que lhe interessa e baixar e aproveitar e depois ...



Biblioafro-Philolibroum apóia a

22 de junho de 2006

INDIQUE ESSE TRABALHO A UM ESTUDIOSO DO TEMA, GANHE COM A MELHORIA DA CULTURA EM SEU PAÍS.


100 ANOS DE CARNAVAL NO RIO DE JANEIRO, de Haroldo Costa. Rio de Janeiro, Vitale, 2001. 253p. ilust.

A ABOLIÇÃO DO COMÉRCIO DE ESCRAVOS: A GRÃ-BRETANHA, O BRASIL E A QUESTÃO DO COMÉRCIO DE ESCRAVOS (1807-1869), de Leslie Bethell. Brasília, DF, Ed. Senado Federal, 2002. 478p. (Coleção Biblioteca Básica Brasileira).

AFRO-BRASILEIROS HOJE, de Darien J. Davis. Rio de Janeiro, Selo Negro/Minority Rights Group International, 2001. 140p.
ISBN 85-87478-09-5


AFRO-DESCENDENTE: IDENTIDADE EM CONSTRUÇÃO, por Ricardo Franklin Ferreira. Rio de Janeiro, Pallas/Educ, 2000. 288p.

AGUDÁS; OS "BRASILEIROS" DO BENIN, de Milton Guran. Rio de Janeiro, Nova Fronteira/Ed. Gama Filho, 2000. 290p. ilust.

O ALMIRANTE NEGRO (REVOLTA DA CHIBATA - A VINGANÇA), de Moacir C. Lopes. Rio de Janeiro, Quartet, 2001. 224p.
ISBN 85-85696-30-3




O ANJO DA FIDELIDADE, por José Louzeiro. Rio de Janeiro, Francisco Alves, 2000. 551p. ilust.


BARÕES E ESCRAVOS DO CAFÉ: UMA HISTÓRIA PRIVADA DO VALE DO PARAÍBA, de Sonia Sant'Anna. Rio de Janeiro, Jorge Zahar, 2001. 180p.


BRASIL AFRO-BRASILEIRO, org. por Maria Nazareth Fonseca. Belo Horizonte, Autêntica, 2000. 352p.


BRASIL: COLONIZAÇÃO E ESCRAVIDÃO, org. por Maria Beatriz Nizza da silva. Rio de Janeiro, Nova Fronteira, 2001. 418p.


BRASIL DE TODOS OS SANTOS, de Ronaldo Vainfas e Juliana Beatriz de Souza. Rio de Janeiro, Jorge Zahar, 2000. (Coleção Descobrindo o Brasil). 76p.

A BUSCA DE UM CAMINHO PARA O BRASIL: A TRILHA DO CÍRCULO VICIOSO, de Hélio Santos. São Paulo, SENAC, 2002. 462p. ISBN 85-73592-34-6


CANDOMBLÉ: RELIGIÃO DO CORPO E DA ALMA, org. por Carlos Eugênio Marcondes de Moura. Rio de Janeiro, Pallas, 2000.


O CANDOMBLÉ DA BAHIA, de Roger Bastide. São Paulo, Companhia das Letras, 2001. 480p. ilust.


A CAPOEIRA ANGOLA NA BAHIA, por Mestre Bola Sete. 2.ed. Rio de Janeiro, Pallas, 1999. 200p. ilust.



A CAPOEIRA ESCRAVA E OUTRAS TRADIÇÕES REBELDES NO RIO DE JANEIRO (1808-1850) de Carlos Eugênio Libânio Soares. Campinas, SP, Ed. da UNICAMP/CECULT, 2001. 606p.


CENAS DA ABOLIÇÃO: ESCRAVOS E SENHORES NO PARLAMENTO E NA JUSTIÇA, de Joseli Nunes Mendonça. São Paulo, Fund. Perseu Abramo, 2001. 120p. (Coleção História do Povo Brasileiro). ISBN 85-86469-59-9


CLASSES, RAÇAS E DEMOCRACIA, de Antonio Sérgio Alfredo Guimarães. São Paulo, Ed. 34, 2002. 232p. ISBN 85-73262-32-X


CONFLITOS SOCIAIS E MAGIA, de Liana Trindade. São Paulo, Hucitec/Terceira Margem, 2000. 176p.


CONSCIÊNCIA NEGRA EM CARTAZ, de Nelson F. I. Silva. Brasília, DF, Ed. da UnB, 2001. 135p.


COR, PROFISSÃO E MOBILIDADE: O NEGRO E O RÁDIO DE SÃO PAULO, de João Baptista Borges Pereira. São Paulo, Ed. da USP, 2001. 279p.


DEVOTOS DA COR, de Mariza de Carvalho Soares. Rio de Janeiro, Civilização Brasileira, 2000. 303p.








O DRAGÃO DO MAR E SEU TEMPO, de Audifax Rios. Fortaleza, Ed. Livro Técnico, 2001. 96p. ilust. (Não tem ISBN)


ESCRAVIDÃO E CIDADANIA NO BRASIL MONÁRQUICO, por Hebe Maria Mattos. Rio de Janeiro, Jorge Zahar, 2000.


ESCRAVOS, ROCEIROS E REBELDES, de Stuart Schwartz: trad. de Jussara Simões. Bauru, SP, Ed. da USC, 2001. 300p. ilust. bibliog. ISBN 85-74601-25-X


A FOGUEIRA DE XANGÔ, O ORIXÁ DO FOGO, de José Flávio Pessoa de Barros. Rio de Janeiro, Ed. da UERJ/Intercom, 2001. 247p.


GRÃOS VERMELHOS NO VALE, de Clair de Mattos. Rio de Janeiro, Razão Cultural, 2001. 182p.


HERÓI POR NÓS - ADHEMAR FERREIRA DA SILVA, O OURO NEGRO BRASILEIRO, por Tânia Mara Siviero e Victor Burton. São Paulo, DBA, 2000.


A HIERARQUIA DAS RAÇAS: NEGROS E BRANCOS EM SALVADOR, por Jeferson Bacelar. Rio de Janeiro, Pallas, 2000.


O INFAME COMÉRCIO: PROPOSTAS E EXPERIÊNCIAS NO FINAL DO TRÁFICO DE AFRICANOS PARA O BRASIL (1800-1850), de Jaime Rodrigues. Campinas, SP, Ed. da UNICAMP/CECULT, 2000. 238p.


A INVENÇÃO DO "SER NEGRO": UM PERCURSO DAS IDÉIAS QUE NATURALIZARAM A INFERIORIDADE DOS NEGROS, de Gisleine Aparecida dos Santos. São Paulo, EDUC/FAPESP: Rio de Janeiro, Pallas, 2002. 176p. ISBN 85-28302-39-3


JOAQUIM FIRMINO, O MÁRTIR DA ABOLIÇÃO, de Jácomo Mandato. Campinas, SP, Ed. do Autor, 2001. 158p.


JOGO DE BÚZIOS: UM ENCONTRO COM O DESCONHECIDO, de José Beniste. Rio de Janeiro, Bertrand Brasil, 2000. 294p.


LÁ VEM O MEU PARENTE - AS IRMANDADES DE PRETOS E PARDOS NO RIO DE JANEIRO E EM PERNAMBUCO (SÉCULO XVIII), de Antonia Aparecida Quintão. São Paulo, Annablume, 2002. 230p. ISBN 85-74192-59-7


LARÓYÈ, por Mário Cravo Neto. São Paulo, Áries, 2000. 200p. ilust. fotos


A LEI DO SANTO, de Muniz Sodré. Rio de Janeiro, Bluhm, 2000. 142p.


MADE IN AFRICA, de Luís da Câmara Cascudo. São Paulo, Global, 2001p. 188p.


MAMMA ANGOLA: SOCIEDADE E ECONOMIA DE UM PAÍS NASCENTE, de Solival Menezes. São Paulo, EDUSP, 2000. 409p.


A MANILHA E O LIBAMBO: A ÁFRICA E A ESCRAVIDÃO, DE 1500 A 1700, de Alberto da Costa e Silva. Rio de Janeiro, Nova Fronteira, 2002. 1.072p. ISBN 85-20912-62-1


MITO E ESPIRITUALIDADE, por Helena Teodoro. Rio de Janeiro, Pallas, 2000. 216p.


MITOLOGIA DOS ORIXÁS, de Reginaldo Prandi. São Paulo, Companhia das Letras, 2000. 591p. ilust.


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SABES PORVENTURA O QUE SEJA UM 'GRIOT' ?

ALÃFIA ! ÌPADÉ ! IKÀWE ! ÌMÓ ! (PAZ! REUNIÃO! LEITURA! SABER!)

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Mulato: Negro - Não Negro e ou branco - Não brancoEneide de Almeida dos Reis - Editora Altana

Cidadania em preto e brancoMaria Aparecida Silva Bento - Editora Ática

Menina bonita do laço de fitaAna Maria Machado - Editora Ática

Todos semelhantes, todos diferentesAlbert Jacquard - Editora Augustus

Ninguém é igual a ninguémRegina Otero - Editora Brasil

História da pretaHeloisa Pires Lima - Editora Companhia das letras

A história dos escravosIsabel Lustosa e Maria Eugênia - Editora Cia. das Letras

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A cor da TernuraGeni Mariano Guimarães - Editora FTD

Zumbi: O despertar da liberdadeJúlio Emílio Bráz - Editora FTD

Gosto de África - Histórias de lá e daquiJoel Rufino dos Santos - Editora Global

Jogo das diferenças: O multiculturalismo e seus contextosLuis Alberto Gonçalves e

Petronilha B. Gonçalves e Silva - Editora Autêntica

Racista, eu de jeito nenhumMaurício Pestana- Editora Escala

Negro qual é o seu nomeConsuelo Dores da Silva - Mazza Edições

Doce princesa NegraSolange Azevedo Cianni - Mémórias Futuras Edições

Revista Brasileira de crescimento e desenvolvimento humano - volume 9Vários autores - Editora Cdhesp/ USP

Felicidade não tem corJúlio Emílio Bráz - Editora Moderna

Gostando mais de nós mesmosMaria Lúcia Silva - Editora Gente

Mãos Negras - Antropologia da arte negraCelso Prudente

Preconceito e autoconceito : identidade e interação na sala de aulaIvone Martins de Oliveira - Editora Papirus

A menina transparenteElisa Lucinda - Editora Salamandra

Pretinha, eu?Júlio Emílio Bráz - Editora Scipione

Dicionário de relações étnicas e raciaisEllis Cashmore - Editora Selo Negro

Diferenças e preconceito na escolaJúlio Groppa Aquino - Summus Editorial

Rei ZumbiBig Richard - Editora Planetinha Paz

As idéias racistas - Os negros e a educação, negro e currículo, os negros- os conteúdos escolares e a diversidade cultural, os negros- os conteúdos escolares e a diversidade cultural.II, educação para a população afro-brasileiraVários autores - Editora Núcleo de Estudos Negros

Doze faces do preconceitoJaime Pinsky - Editora Contexto

Alfabeto NegroCristiano Agostinho e Rosa Margarida de Carvalho Rocha - Editora Santa Clara

Lendas dos Orixás para crianças : ExúMaurício Pestana - Editora Pestana

Orglho da Raça - Uma história de racismo e educação no BrasilHeloisa Pires Lima - Memórias Futuras Edições

Do silêncio do lar ao silêncio escolar - racismo, precoceito e discriminaçãoVários autores - Editora Contexto

Desconstruindo a discriminação racial do negro no livro didáticoAna Célia Silva - Editora Edufba

Dito, o negrinho da flautaPedro Bloch - Editora Moderna Racismo CordialVários autores - Folha de São Paulo

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Autor: ROBERT CONRAD
Título: OS ÚLTIMOS ANOS DA ESCRAVATURA NO BRASIL
Editora: CIVILIZAÇÃO BRASILEIRA
Ano: 1978 Páginas: 394

Comentário: COM MUITAS ILUSTRAÇÕES. TRADUÇÃO DE FERNANDO DE CASTRO FERRO DESENHO DE CAPA: SANDRA PASSOS. PREFÁCIO EXPLICAÇÃO E AGRADECIMENTO DO AUTOR NOTA DO TRADUTOR.ABREVIATURAS USADAS NAS NOTAS AO PÉ - DE - PAGINAS.
APÊNDICES:
UMA NOTA SOBRE ESTATISTICAS
A LEI RIO BRANCO
A LEI SARAIVA - COTEGIPE

UMA VASTA BIBLIOGRAFIA SOBRE OS LIVROS USADOS E CONSULTADOS NA ELABORAÇÃO DESSE PRECIOSO TRABALHO. LIVRO COM A IMPRESSÃO DA RENOMADA GRÁFICA DA CASA. " É OBRA DAS MAIS COMPLETAS EM TORNO DOS FATOS SOCIAIS, POLÍTICOS E ECONÔMICOS QUE MARCARAM AS LUTAS ENTRE ESCRAVAGISTAS E ABOLICIONISTAS E CULMINARAM NA LIBERTAÇÃO DOS ESCRAVOS." Saiba mais ...


YWÓYE
TERMO YORUBÁ QUE DESIGNA O PENSAMENTO CLARO,
AQUILO QUE É DISTINTO, OU QUE ESTÁ PATENTE .


ALÃFIA ! ÌPADÉ ! IKÀWE ! ÌMÓ ! (PAZ! REUNIÃO! LEITURA! SABER!)

IKÀWÉ ODÀRÁ JÉ NÂ NLÁ ÌMÓ. (UMA BOA LEITURA É UM GRANDE SABER)

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